Stéphane Bouillet

- PARCOURS -

Après une dizaine d'années de pratique véto,
Stéphane Bouillet finit par se (re)plonger dans les arts:
enfant, c'était sa discipline préférée à l'école.
A la maison, il peint des figurines en plomb d'Héroic Fantasy,
baignant dans l'atmosphère artistique de sa mère multidisciplinaire.

A l'école véto, il se met à la photo et croque la vie étudiante,
à travers un dessin humoristique et satirique
dans Le Point, le fanzine de l'école.

Congo: réintroduction de chimpanzés, et 1er déclic
avec le photographe animalier Rudi Delvaux.

Puis un vieux FM2 lui refile le virus
de la prise de vue argentique en réglages manuels,
testés lors d'un voyage à Mayotte avec H2(O),
des enfants clandestins, sous les moussons.

2006: vision au Leica de l'Asie du Sud-est,
avec Rubbis(h) et (Or)Anges.

2008: Hasselblad et portraits plus affirmés,
aussi bien en reportages que pour des travaux personnels.

Parallèlement, la mise en place de sites internet pour des associations
lui met un pied dans la conception et le design Web,
avec le coté design graphique que cela inclut.

- REGARD -

Le plus intéressant dans le graphisme et les arts en général,
est le défi qu'est chaque conception de dégager dans l'œuvre finale
une atmosphère, une émotion, une âme en quelque sorte,
que ce soit celle des personnes photographiées
ou les convictions profondes des organismes pour lesquels on travaille.
Ces convictions sont, dans la mesure du possible,
partagées par les clients et l'artiste, entre humanisme et écologie,
ou tout simplement un fort penchant pour le développement des arts en général.