Sladjana Stankovic
#Photographe
- Actualité
Lancement du site My Darkroom, spécialisé dans l'univers de la photographie argentique
Fondé autour de Nathalie Lopparelli, l'ancienne tireuse personnelle de Sébastiao Salgado, connu pour ses noirs et blancs si particuliers, My Darkroom est centré sur une quarantaine de photographes de renom tels que Stanley Greene ou Patrick Mesner.
Presque à contre courant, ce site parait pourtant être une réelle bouffée d'air frais dans l'univers de la photographie. Il regroupe des passionnés de la pellicule et du format 35mm qui tentent grâce à cette tribune de favoriser "sa diffusion auprès de collectionneurs, d'institutions et du grand public amateur".
© My Darkroom, conception graphique de Justine Foumier
Le collectif favorise des expositions venant de leurs propres catalogues de photos et permet de... - Exposition
Exposition : « My Dark Room » à l'Espace Réduit
Communiqué de presse
« My Darkroom »
« My Darkroom » regroupe 26 photographes d’une grande diversité autour de Nathalie Lopparelli pour promouvoir la photographie argentique et favoriser sa diffusion auprès de collectionneurs, d’institutions et du grand public amateur.
L’association organise régulièrement des expositions pour présenter des tirages de collection issus d’un catalogue de photographies très riche et d’un savoir-faire unique dans l’artisanat du tirage. Ce site et les photos qui y sont présentées donnent un aperçu de la richesse et de la diversité de ce fonds photographique réuni autour d’une passion argentique commune.
Par ailleurs, &agrav... - Exposition
Sladjana Stankovic - Regard non détourné, à la Maison d'Europe et d'Orient
Au début je voulais réaliser un travail photographique qui s'appellerait « Regards non détournés ». Il témoignerait à travers mon regard de l'univers de ceux qui vivent dans la rue, des « sans domicile fixe ». J'ai très vite compris à quel point c’était prétentieux. Je sortais dans Paris, j'adressais la parole, je ne posais qu’une seule question : « ça ne vous dérange pas si je reste un peu avec vous? »
Quand ils acceptaient très vite les histoires coulaient de leurs bouches. J’avais du mal à les interrompre, m’arracher et dire : « il faut que je parte » (j’évitais de dire « je rentre chez moi »). C’&...
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Fondé autour de Nathalie Lopparelli, l'ancienne tireuse personnelle de Sébastiao Salgado, connu pour ses noirs et blancs si particuliers, My Darkroom est centré sur une quarantaine de photographes de renom tels que Stanley Greene ou Patrick Mesner.
Presque à contre courant, ce site parait pourtant être une réelle bouffée d'air frais dans l'univers de la photographie. Il regroupe des passionnés de la pellicule et du format 35mm qui tentent grâce à cette tribune de favoriser "sa diffusion auprès de collectionneurs, d'institutions et du grand public amateur".
© My Darkroom, conception graphique de Justine Foumier
Le collectif favorise des expositions venant de leurs propres catalogues de photos et permet de...
Communiqué de presse
« My Darkroom »
« My Darkroom » regroupe 26 photographes d’une grande diversité autour de Nathalie Lopparelli pour promouvoir la photographie argentique et favoriser sa diffusion auprès de collectionneurs, d’institutions et du grand public amateur.
L’association organise régulièrement des expositions pour présenter des tirages de collection issus d’un catalogue de photographies très riche et d’un savoir-faire unique dans l’artisanat du tirage. Ce site et les photos qui y sont présentées donnent un aperçu de la richesse et de la diversité de ce fonds photographique réuni autour d’une passion argentique commune.
Par ailleurs, &agrav...
Au début je voulais réaliser un travail photographique qui s'appellerait « Regards non détournés ». Il témoignerait à travers mon regard de l'univers de ceux qui vivent dans la rue, des « sans domicile fixe ». J'ai très vite compris à quel point c’était prétentieux. Je sortais dans Paris, j'adressais la parole, je ne posais qu’une seule question : « ça ne vous dérange pas si je reste un peu avec vous? »
Quand ils acceptaient très vite les histoires coulaient de leurs bouches. J’avais du mal à les interrompre, m’arracher et dire : « il faut que je parte » (j’évitais de dire « je rentre chez moi »). C’&...