Irena Elster
#Photographe
Photos sur
http://www.irena-elster.com
- Exposition
Exposition « Made in Poland » de la photographe Irena Elster à la librairie polonaise de Paris
L'exposition "Made in Poland" a lieu du 14 au 30 novembre 2012
à la Librairie Polonaise
123 bd St-Germain, Paris 6e
m° Odéon ou Mabillon
Vestiges du communisme, modernisme, humour, pauvreté… – le symbole des travailleurs, une religieuse, "przebudzenie" ou "l'éveil", voilà quelques facettes d’une Pologne toute récente, qui en a bien d’autres, mais ce sont celles-là que je crois avoir interceptées. Photos prises en 2008, depuis, de l’eau a coulé sous les ponts, ou plutôt, certaines choses ont évolué dans un sens ou dans un autre mais c'est une autre histoire.
... - Exposition
Portraits d'automne. Irena Elster. Autumn Portraits
Tirages argentiques en noir et blanc.
Ces oubliés de l'Histoire
Ils y ont travaillé, souvent, ils ont combattu, parfois, avec les Résistants français durant la 2e guerre mondiale, c'est à double titre qu'ils sont les oubliés du monde présent : en tant que vieux, le mot même est aujourd'hui rejeté, en tant qu'issus d'une immigration qui s'était donnée à la France...
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Irena Elster - Ce temps qui ne passe pas
"Ce temps qui ne passe pas" – est un reportage, une série de portraits argentiques (en noir et blanc), d'immigrés polonais qui, arrivés en France juste avant ou après la guerre, après y avoir travaillé, terminent leur parcours ici.
Invitée à me reposer parmi eux, je partageais leur temps – à la cantine, au bar, au village. Les mots étaient rares. "Et ce temps qui ne passe pas... " – s'était pourtant confiée une des pensionnaires. Entourée de silence, sans utiliser de flash pour ne pas le troubler, un jour, j'ai sorti mon vieux reflex... L'exposition se déroule à la galerie d'AIDDA, grâce à laquelle j'avais déjà exposé, dan... - Exposition
Irena Elster - Series
Photographies en noir et blanc, 24 x 36, prise de vue en manuel, d’abord avec un vieux Canon, puis un Olympus OM 1, jamais de flash. Prises pour la plupart en France, sauf trois – prises en Pologne.
Cette exposition est peut-être la plus représentative de ce qui me pousse à faire de la photo : l’impossibilité de toucher le temps.
Il ne me reste plus qu’à jouer avec. Comme ces corps qui glissent sur l’eau sans jamais la dominer.
Ceux qui croient dominer le temps « se la jouent » : grotesques, prétentieux. « Armstrong, un jour tôt ou tard, on n’est que des os », chantait Nougaro. « J’ai beau voir le ciel, l’oiseau... » - il ne me reste qu’à le photographier (série des pig...
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