Alexei Vassiliev #Photographe
Alexei Vassiliev est né à Moscou en 1959. Il s'installe en France, en 1993 et
Exposition Exposition « Nos déserts » d'Alexeï Vassiliev, François Ronsiaux, Jean-Pierre Attal et Vincent Debanne Exposition ART PARIS ART FAIR fait entrer la Russie au Grand Palais Exposition Donne lieu à présence Exposition Il était une fois... Alexeï Vassiliev Exposition NOSTALGIE SOVIETIQUE : IMAGES D'UNE EPOQUE OUBLIEES Exposition Photographies d'Alexeï Vassiliev DES-APPARITIONS Exposition Alexei Vassiliev - Instants troublés Modifier l'image
Plateforme réunit quatre photographes explorant les mécanismes de dépersonnalisation à l’œuvre dans les grandes métropoles contemporaines, leurs suburbias et leurs entreprises globalisées : l’humanité est ici défigurée, voire simplement absente.
Réalisés à Paris et Moscou, les panoramiques d’Alexeï Vassiliev de la série Quo Vaditis ? décrivent des foules en mouvement, floutées dans leurs parcours de commuters. Un magma d’anonymes, silhouettes qui ne résistent pas à la lenteur de pose, dans lequel les corps et les regards se frottent sans susciter d’échange.
© Jean-Pierre Attal
Ce sont des foules que l’on logerait volontiers dans les lotissements pavillonnaires photographiés en Ile-de-France par Jean-Pierre Att...
Du 28 mars au 1er avril 2013, ART PARIS ART FAIR accueille 140 galeries de 21 pays sous la nef du Grand Palais. Rendez-vous printanier pour l’art moderne et contemporain, ART PARIS ART FAIR affirme son identité singulière de foire européenne orientée vers la promotion des scènes de l’Est (Europe Centrale et Orientale, Moyen-Orient et Asie) et met pour la première fois un pays à l’honneur en invitant la Russie.
UNE SÉLECTION PROFONDÉMENT RENOUVELÉE ET PLUS INTERNATIONALE
Avec 61 nouvelles participations, la sélection 2013 est profondément renouvelée. Elle se distingue par une internationalisation croissante avec 21 pays représentés (contre 16 en 2012) et 43% de participation étrangère. De nouveaux pays font leur entrée comme l’Arabie Saou...
Donne lieu à est un ensemble de propositions photographiques sur le rapport entre l'espace et la présence. Pièces, maisons, tunnels sont autant de lieux où la présence peut être réelle, à venir ou supposée. Elle peut également émaner du bâtiment lui-même. Ce rapport est aussi envisagé sous l'angle de la temporalité dans l'idée du passage. Espace à habiter, lieu inhabité, l'exposition est sur les traces de la vie.
La scénographie de l'exposition elle-même joue sur la notion de présence. Les photographies n'étant pas physiquement accrochées aux murs mais montrées à l'aide de dispositifs de virtualisation comme des écrans et des vid&eac...
Il était une fois un pays qui s’appelait l’Union Soviétique. Sa capitale, la ville où je suis né et où j’ai vécu, était Ma Ville. J’aimais Moskva pour sa beauté singulière. Elle était dure, tendue, crispée et audacieuse, perpétuellement épiée, sur le qui vive, menacée mais capable de toutes les ruses pour s’inventer sans cesse de fragiles îlots de liberté. Ses façades centenaires décrépites, ses vitrines absurdes, ses églises à l’abandon, la mélancolie de ses arrière cours, la démesure de ses avenues vides, les queues partout et toujours, l’odeur du chou qui imprégnait le moindre recoin des appartement...
Pour commencer sa troisième année d'existence, la galerie blue square est heureuse de présenter une exposition collective de cinq photographes qui ont chacun travaillé sur des représentations nostalgiques de l'ex Union Soviétique.
La première exposition de la galerie rassemblant des artistes de l'Ouest comme de l'Est participe également aux commémorations du 20ème anniversaire de la chute du Mur de Berlin en présentant une série exceptionnelle ...
Alexeï Vassiliev ne donne jamais de titres à ses photos. Il nous laisse seuls face à leur univers secret où surgissent dans le trouble et l'urgence d'instants infimes des êtres qui semblent insaisissables. Nimbés d'énigme, délestés de la moindre trivialité et par-là même dévolus à l'essentiel, ces personnages paradoxaux feignent de s'évanouir pour mieux imposer leur présence aléatoire. Ils oscillent sans cesse entre apparition et disparition.
Pour exprimer cette hésitation permanente, qui les rend presque hypnotiques, Alexeï Vassiliev, explore le flou jusque dans ses dimensions les plus extrêmes, n'hésitant pas, de temps en temps, à frôler l'abstraction. Jouant tantôt avec la stridence de couleurs nues, tantôt
avec des gammes chromatiques crépusculaires, il laisse parfois les gestes, les visag...
“Ils sont là, tout simplement là : insaisissables, irréfutables, furtifs, définitifs, éphémères, éperdus d'éternité... Ils surgissent soudain dans le trouble et l'urgence d'instants infimes, puis feignent de s'évanouir afin de mieux imposer leur présence aléatoire. Nimbés d'énigme, délestés de la moindre trivialité et par là même dévolus à l'essentiel ces êtres paradoxaux me défient et me hantent.
Pour dire leurs secrets sans jamais les dévoiler ils sollicitent parfois la stridence de couleurs nues ou font appels à des gammes crépusculaires, mais toujours ils exigent la connivence d'une lumière improbable.
Impérieux, ils me dictent aussi leurs étranges stratégies d'effacement partiel, d'apparente dilution, de gestes, de visages ou de silhouettes dédoublés, démultipliés.
Ils sont l...